Un article d’Alvar Jones Sanchez, docteur en anthropologie sociale, lauréat d’une bourse postdoctorale de la Fondation
J’ai travaillé pendant une dizaine d’années dans le monde de la coopération internationale, essentiellement sur le continent africain. Je m’en suis distancé pour plusieurs motifs. L’un des plus importants tient à l’absence de correspondance entre les bénéfices associés à mes fonctions (en termes économiques et de prestige) et l’échec fréquent des projets. Ce malaise affecte un grand nombre de professionnels au sein d’organisations internationales du développement, qui doivent concilier leur désir de stabilité et de réussite professionnelle avec des questionnements éthiques parfois complexes.
L’une des raisons qui explique le fossé entre un statut souvent avantageux et des résultats plutôt discutables…
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Crédit photo du haut : ©Alvar Jones Sanchez